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Dixit Larousse, la postproduction est "l'Ensemble des opérations techniques intervenant après le tournage d'un film."
Et bien oui, c'est cela même !
Plusieurs étapes forment la post-production :
- le montage (effectué par Abel Redon) qui consiste à organiser "des plans d'un film dans certaines conditions d'ordre et de durée" (Marcel Martin).
- l’étalonnage et les effets spéciaux (étalonnage par Anne-Sophie Schbath, effets spéciaux par Jérémy Justice et Rémi Devouassoud). L’étalonnage consiste à harmoniser les couleurs et la lumière des plans tournés. Les Effets spéciaux sont des techniques utilisées au cinéma pour créer l’illusion d’actions et simuler des objets, des environnements, des personnages ou des phénomènes qui n’existent pas dans la réalité ou qui ne pourraient pas être filmés au moment du tournage.
- le montage son, effectué par Benoit Riot le Junter : rajouter des sons qui pourraient manquer, froissement de costumes, bruits des pas, de couverts etc. travail fait en collaboration avec le bruiteur Ludovic Virieux.
- le mixage effectué par Raphaël Monier des studios O'Bahamas (Carole Tranchand) à Lyon : harmoniser le tout par exemple en baissant ou au contraire en augmentant certains sons.
Et bien oui, c'est cela même !
Plusieurs étapes forment la post-production :
- le montage (effectué par Abel Redon) qui consiste à organiser "des plans d'un film dans certaines conditions d'ordre et de durée" (Marcel Martin).
- l’étalonnage et les effets spéciaux (étalonnage par Anne-Sophie Schbath, effets spéciaux par Jérémy Justice et Rémi Devouassoud). L’étalonnage consiste à harmoniser les couleurs et la lumière des plans tournés. Les Effets spéciaux sont des techniques utilisées au cinéma pour créer l’illusion d’actions et simuler des objets, des environnements, des personnages ou des phénomènes qui n’existent pas dans la réalité ou qui ne pourraient pas être filmés au moment du tournage.
- le montage son, effectué par Benoit Riot le Junter : rajouter des sons qui pourraient manquer, froissement de costumes, bruits des pas, de couverts etc. travail fait en collaboration avec le bruiteur Ludovic Virieux.
- le mixage effectué par Raphaël Monier des studios O'Bahamas (Carole Tranchand) à Lyon : harmoniser le tout par exemple en baissant ou au contraire en augmentant certains sons.
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LE MIXAGE SON
Le mixage Son s'est aussi déroulé à Lyon, et c'est Raphaël Monier qui s'en est chargé ! C'est la dernière étape de travail sur le Son d'un film.
Le montage Son et le bruitage étant terminés, Raphaël se retrouve avec de nombreuses et différentes pistes Sons et sa mission sera de les harmoniser et de trouver un bel équilibre sonore pour le film. Toutes les scènes étant différentes, le travail est minutieux, certaines scènes nécessiteront qu'on se concentre sur les dialogues, d'autres sur les ambiances, d'autres sur la musique etc... Le mixage agit directement sur le sens, sur le ressenti, une scène peut-être totalement différente selon le volume et la texture sonore de certains dialogues ou bruits extérieurs.
Le mixage Son s'est aussi déroulé à Lyon, et c'est Raphaël Monier qui s'en est chargé ! C'est la dernière étape de travail sur le Son d'un film.
Le montage Son et le bruitage étant terminés, Raphaël se retrouve avec de nombreuses et différentes pistes Sons et sa mission sera de les harmoniser et de trouver un bel équilibre sonore pour le film. Toutes les scènes étant différentes, le travail est minutieux, certaines scènes nécessiteront qu'on se concentre sur les dialogues, d'autres sur les ambiances, d'autres sur la musique etc... Le mixage agit directement sur le sens, sur le ressenti, une scène peut-être totalement différente selon le volume et la texture sonore de certains dialogues ou bruits extérieurs.
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LE BRUITAGE
Le bruiteur est Ludovic Virieux, de Lyon aussi !
Comme je vous l'ai expliqué dans le paragraphe du Montage Son, le bruiteur fabrique les Sons dont le monteur a besoin pour compléter la bande sonore.
Le bruiteur doit faire appel à beaucoup d'ingéniosité pour réussir à créer LE bruit dont on a besoin. Cela donne quelques fois de drôles de choses ! Un des exemples qui me vient à l'esprit est le bruitage du film Raging Bull de Martin Scorsese avec Robert de Niro, le bruiteur a utilisé des bruits de melon et de tomates écrasés pour le Son de l'impact des coups de poings sur le visage pendant les match de boxes !!
Le bruiteur est Ludovic Virieux, de Lyon aussi !
Comme je vous l'ai expliqué dans le paragraphe du Montage Son, le bruiteur fabrique les Sons dont le monteur a besoin pour compléter la bande sonore.
Le bruiteur doit faire appel à beaucoup d'ingéniosité pour réussir à créer LE bruit dont on a besoin. Cela donne quelques fois de drôles de choses ! Un des exemples qui me vient à l'esprit est le bruitage du film Raging Bull de Martin Scorsese avec Robert de Niro, le bruiteur a utilisé des bruits de melon et de tomates écrasés pour le Son de l'impact des coups de poings sur le visage pendant les match de boxes !!
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LE MONTAGE SON
Cette étape ne s'est pas déroulé au Mans mais à Lyon, je ne peux donc pas vous décrire la vie du monteur, mais ce qui est sûr, c'est qu'il faut s'armer de patience et avoir les oreilles bien pendues ! Merci à Benoit Riot Le Junter !
Le montage Son consiste à choisir et à rajouter des Sons qui pourraient manquer à une scène. Ce sont souvent ce qu'on appelle des ambiances. Par exemple, imaginons une scène où deux personnages discutent en terrasse sur un port de pêche, il nous manquera peut-être des Sons d'ambiance comme le bruit de la mer, du vent, des bateaux qui tanguent, des cris de mouettes etc. Dans ce cas, soit le monteur a en sa possession les bruits manquants dans une banque de Sons, soit il va faire appel à un bruiteur qui va créer ces bruits lui même.
Ca peut-être aussi un bruit spécifique comme par exemple, quelqu'un qui casse quelque chose, et le son direct pris sur place ne plait pas assez et dans ce cas, le bruiteur va lui même casser quelque chose et va enregistrer le son provoqué pour le coller à la scène ! Magique non ?
Tous ces sons seront enregistrés sur des pistes différentes et viendront compléter les possibilités de Sons à mixer sur le film. Autant vous dire que ces Sons sont d'une grande importance, c'est ce qui va faire qu'on va se sentir enveloppé par une scène, complètement immergé dedans.
Cette étape ne s'est pas déroulé au Mans mais à Lyon, je ne peux donc pas vous décrire la vie du monteur, mais ce qui est sûr, c'est qu'il faut s'armer de patience et avoir les oreilles bien pendues ! Merci à Benoit Riot Le Junter !
Le montage Son consiste à choisir et à rajouter des Sons qui pourraient manquer à une scène. Ce sont souvent ce qu'on appelle des ambiances. Par exemple, imaginons une scène où deux personnages discutent en terrasse sur un port de pêche, il nous manquera peut-être des Sons d'ambiance comme le bruit de la mer, du vent, des bateaux qui tanguent, des cris de mouettes etc. Dans ce cas, soit le monteur a en sa possession les bruits manquants dans une banque de Sons, soit il va faire appel à un bruiteur qui va créer ces bruits lui même.
Ca peut-être aussi un bruit spécifique comme par exemple, quelqu'un qui casse quelque chose, et le son direct pris sur place ne plait pas assez et dans ce cas, le bruiteur va lui même casser quelque chose et va enregistrer le son provoqué pour le coller à la scène ! Magique non ?
Tous ces sons seront enregistrés sur des pistes différentes et viendront compléter les possibilités de Sons à mixer sur le film. Autant vous dire que ces Sons sont d'une grande importance, c'est ce qui va faire qu'on va se sentir enveloppé par une scène, complètement immergé dedans.
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LE MONTAGE
Pour le moment nous approchons du montage image final ! :
Mais qu’est que le montage exactement ?
C'est un peu comme si vous aviez préparé tous les ingrédients pour une recette de cuisine et que vient le moment de les mélanger dans un certain ordre afin d'obtenir un résultat attendu et gourmand !
Bon, c'est vrai qu'au cinéma on pose les plans les uns après les autres, sans les mélanger avec une cuillère en bois... mais bon, vous avez compris l'idée...
Comment cela se passe-t-il concrètement ?
Et bien tout d'abord le monteur travaille de son côté en sélectionnant les meilleurs rushes et les met bout à bout.
Rushes : prises de vues telles qu'elles apparaissent au retour du développement de ce qui a été filmé, avant le choix du montage, merci Larousse.
Le réalisateur peut ainsi commencer à visionner les BAB !!! (BAB = Bout à Bout)
C'est dit en quelques lignes, mais sachez que cela prend des heures !!! c'est un travail de titan !
Ensuite, on prépare l'arrivée de notre monteur en réaménageant nos bureaux pour pouvoir lui dédier une pièce entière.
(oui, ce serait compliqué de partager son bureau avec un monteur on risquerait d'avoir des problèmes de vue (la lumière est souvent éteinte) et de devenir sourd (le son est souvent très élevé !)
Ensuite, nous accueillons notre monteur chouchou le génie de l'image, Abel Redon !
Certains cinéastes laissent totalement leur monteur travailler seul, d'autres ont besoin de monter avec eux et de garder la main sur leur film, c’est le cas de notre réal, Bertrand Guerry.
Autant vous dire que le duo réal-monteur doit bien s'entendre !!
Ouf... c'est justement le cas !
C’est ainsi que depuis fin Janvier les deux compères passent des heures dans leur caverne à la recherche du montage idéal et final.
Autant vous dire que les moments les plus douloureux sont lorsqu’on décide de couper entièrement une scène, ça fait mal, très mal, mais c’est un mal pour un bien !
Autre moment stressant, les projections tests.
Il faut savoir que rares sont les réalisateurs qui acceptent les projections test, car :
qui dit projo test =spectateur=remarque=arghhhhhh mais ils ont tous un avis différent = déprime, déglingue, burn-out.
Plus sérieusement : L’objectif ? Voir si il y a quelque chose de récurrent qui revient de la part des spectateurs.
En revanche, pas question de changer à chaque remarque, le but n’étant pas de plaire à tout le monde !
Et, il faut l’avouer, c’est compliqué de rester fidèle à soi-même en écoutant les autres, mais on y arrive, et Bertrand arrive à savoir ce qu’il veut garder et ce qu’il veut changer.
Il sait où il va.
Les moments plus sympas ?
- dans le détail, les fois où notre monteur nous fait découvrir des petits lézards qui traversent la scène de façon furtive ou bien les séquences loupées qui donnent de sacrés fous rires (vous savez, celles qu’on voit souvent dans les bêtisiers !)
- plus général : quand on a la sensation "d’avoir le film"… comment vous expliquer… hmmmm… il est presque midi, la faim me taraude…oui c’est ça ! c'est un peu comme quand on vous sert une assiette et que vous y voyez un bout de viande, un peu de légumes et un drôle d’os moche au milieu, puis vous fermez les yeux un instant et en les ouvrant, vous découvrez un superbe pot-au feu fumant, avec son os à moelle !!!
Bref, le montage est très intense, mais il faut l’admettre passionnant ! Il ne faut certes pas compter ses heures, car les journées sont très très longues… les semaines aussi !
Pour le moment nous approchons du montage image final ! :
Mais qu’est que le montage exactement ?
C'est un peu comme si vous aviez préparé tous les ingrédients pour une recette de cuisine et que vient le moment de les mélanger dans un certain ordre afin d'obtenir un résultat attendu et gourmand !
Bon, c'est vrai qu'au cinéma on pose les plans les uns après les autres, sans les mélanger avec une cuillère en bois... mais bon, vous avez compris l'idée...
Comment cela se passe-t-il concrètement ?
Et bien tout d'abord le monteur travaille de son côté en sélectionnant les meilleurs rushes et les met bout à bout.
Rushes : prises de vues telles qu'elles apparaissent au retour du développement de ce qui a été filmé, avant le choix du montage, merci Larousse.
Le réalisateur peut ainsi commencer à visionner les BAB !!! (BAB = Bout à Bout)
C'est dit en quelques lignes, mais sachez que cela prend des heures !!! c'est un travail de titan !
Ensuite, on prépare l'arrivée de notre monteur en réaménageant nos bureaux pour pouvoir lui dédier une pièce entière.
(oui, ce serait compliqué de partager son bureau avec un monteur on risquerait d'avoir des problèmes de vue (la lumière est souvent éteinte) et de devenir sourd (le son est souvent très élevé !)
Ensuite, nous accueillons notre monteur chouchou le génie de l'image, Abel Redon !
Certains cinéastes laissent totalement leur monteur travailler seul, d'autres ont besoin de monter avec eux et de garder la main sur leur film, c’est le cas de notre réal, Bertrand Guerry.
Autant vous dire que le duo réal-monteur doit bien s'entendre !!
Ouf... c'est justement le cas !
C’est ainsi que depuis fin Janvier les deux compères passent des heures dans leur caverne à la recherche du montage idéal et final.
Autant vous dire que les moments les plus douloureux sont lorsqu’on décide de couper entièrement une scène, ça fait mal, très mal, mais c’est un mal pour un bien !
Autre moment stressant, les projections tests.
Il faut savoir que rares sont les réalisateurs qui acceptent les projections test, car :
qui dit projo test =spectateur=remarque=arghhhhhh mais ils ont tous un avis différent = déprime, déglingue, burn-out.
Plus sérieusement : L’objectif ? Voir si il y a quelque chose de récurrent qui revient de la part des spectateurs.
En revanche, pas question de changer à chaque remarque, le but n’étant pas de plaire à tout le monde !
Et, il faut l’avouer, c’est compliqué de rester fidèle à soi-même en écoutant les autres, mais on y arrive, et Bertrand arrive à savoir ce qu’il veut garder et ce qu’il veut changer.
Il sait où il va.
Les moments plus sympas ?
- dans le détail, les fois où notre monteur nous fait découvrir des petits lézards qui traversent la scène de façon furtive ou bien les séquences loupées qui donnent de sacrés fous rires (vous savez, celles qu’on voit souvent dans les bêtisiers !)
- plus général : quand on a la sensation "d’avoir le film"… comment vous expliquer… hmmmm… il est presque midi, la faim me taraude…oui c’est ça ! c'est un peu comme quand on vous sert une assiette et que vous y voyez un bout de viande, un peu de légumes et un drôle d’os moche au milieu, puis vous fermez les yeux un instant et en les ouvrant, vous découvrez un superbe pot-au feu fumant, avec son os à moelle !!!
Bref, le montage est très intense, mais il faut l’admettre passionnant ! Il ne faut certes pas compter ses heures, car les journées sont très très longues… les semaines aussi !
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Portraits :

Abel REDON (Chef Monteur)
Diplômé en 2005 du Conservatoire Libre du Cinéma Français, Abel, en plus d'être devenu chef monteur, a débuté une carrière de réalisateur, avec les courts-métrages "Elle part" (autoproduit), et "Inhead" (produit par Mitiki) ainsi qu'une émission culturelle "Picot' Art" (produite par Mitiki et Artkom) diffusée sur LCM. Il travaille actuellement sur son prochain court "Pazni Snajper".
Diplômé en 2005 du Conservatoire Libre du Cinéma Français, Abel, en plus d'être devenu chef monteur, a débuté une carrière de réalisateur, avec les courts-métrages "Elle part" (autoproduit), et "Inhead" (produit par Mitiki) ainsi qu'une émission culturelle "Picot' Art" (produite par Mitiki et Artkom) diffusée sur LCM. Il travaille actuellement sur son prochain court "Pazni Snajper".
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Anne-Sophie SCHBATH/JUSTICE - An'So (Etalonneuse)
Après des études en informatique, puis infographie, elle démarre en 2001 une carrière dans l’audiovisuel chez France Télévisions.
Elle navigue ensuite entre montage, trucage et étalonnage sur des programmes courts, bandes annonces, habillages TV, émissions et documentaires pour de nombreuses chaînes. Elle travaille sur d’autres projets en parallèle, comme l'infographie, la réalisation de sites internet, ou le montage de films et teasers autour des arts vivants.
Très impliquée dans le monde associatif, elle pratique et enseigne le roller, et fait de la sensibilisation à l'image avec l'association Kazok[ou]...
En 2015, elle crée avec son mari Jérémy la société lalunela post-production.
liens : kazokou.fr / lalunela.fr
Après des études en informatique, puis infographie, elle démarre en 2001 une carrière dans l’audiovisuel chez France Télévisions.
Elle navigue ensuite entre montage, trucage et étalonnage sur des programmes courts, bandes annonces, habillages TV, émissions et documentaires pour de nombreuses chaînes. Elle travaille sur d’autres projets en parallèle, comme l'infographie, la réalisation de sites internet, ou le montage de films et teasers autour des arts vivants.
Très impliquée dans le monde associatif, elle pratique et enseigne le roller, et fait de la sensibilisation à l'image avec l'association Kazok[ou]...
En 2015, elle crée avec son mari Jérémy la société lalunela post-production.
liens : kazokou.fr / lalunela.fr
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Jérémy JUSTICE (Effets spéciaux 2D)
"Jérémy Justice s’essaie très tôt à l’image en mouvement, entre court-métrages et documentaires, par l’intermédiaire d’associations ou d’ateliers. Cette passion devient un métier après un BTS Audiovisuel en Montage ( Montaigu -1995 ). Il se forme aux effets spéciaux numériques au sein de la société de post-production Duran-Duboi au milieu de grands noms de l’image tels que Gondry, Sednaoui, Dahan, Siri… Après 2001, les effets se multiplient dans d’autres post-productions : Publicité (Channel, Armani, Happy Meal), Clip (M, Supermenlovers), Habillage (France2, Arte) ou Long-métrage (Carnage, Lucky Luke, Iznogoud, Astérix…)
Parallèlement, il retourne vers sa passion première : le montage, notamment autour des Arts vivants (teasers), du documentaire (‟ Perche, images parlées” , ‟ Murmures de la terre ”) ou du film d’animation (‟ Bamiyan ”).
Ce parcours riche en production d’image se complète avec des créations d’images pour le spectacle vivant (‟ Voyage Orient express ” Images de Patrick Pleutin pour l’orchestre de Paris à Pleyel).
En 2015, il fonde, avec sa femme An'So, la société de post -production lalunela
"Jérémy Justice s’essaie très tôt à l’image en mouvement, entre court-métrages et documentaires, par l’intermédiaire d’associations ou d’ateliers. Cette passion devient un métier après un BTS Audiovisuel en Montage ( Montaigu -1995 ). Il se forme aux effets spéciaux numériques au sein de la société de post-production Duran-Duboi au milieu de grands noms de l’image tels que Gondry, Sednaoui, Dahan, Siri… Après 2001, les effets se multiplient dans d’autres post-productions : Publicité (Channel, Armani, Happy Meal), Clip (M, Supermenlovers), Habillage (France2, Arte) ou Long-métrage (Carnage, Lucky Luke, Iznogoud, Astérix…)
Parallèlement, il retourne vers sa passion première : le montage, notamment autour des Arts vivants (teasers), du documentaire (‟ Perche, images parlées” , ‟ Murmures de la terre ”) ou du film d’animation (‟ Bamiyan ”).
Ce parcours riche en production d’image se complète avec des créations d’images pour le spectacle vivant (‟ Voyage Orient express ” Images de Patrick Pleutin pour l’orchestre de Paris à Pleyel).
En 2015, il fonde, avec sa femme An'So, la société de post -production lalunela
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Rémi DEVOUASSOUD (Générique et effets 3D)
Après les arts appliqués à Lyon Bellcour, il décroche son diplome de réalisateur numérique à Supinfocom en 2008.
Il commence dans la pub à Paris, chez WizzDesign ou il intègre un studio de création aux objectif fabuleux...
Mais la pub et les fabulations ne vont pas vraiment de pair alors il tend plus à se rapprocher du cinéma, du coté des effets spéciaux.
Il travaille notamment avec Abel Redon à l'élaboration des effets spéciaux sur son court "InHead"
Aujourd'hui, il travaille en tant que réalisateur de publicité mais aussi en tant que superviseur des effets visuels sur des clips ou des courts métrages.
Réalisateur | FX | Motion
toneanimationfilms
www.tone-portfolio.com
Après les arts appliqués à Lyon Bellcour, il décroche son diplome de réalisateur numérique à Supinfocom en 2008.
Il commence dans la pub à Paris, chez WizzDesign ou il intègre un studio de création aux objectif fabuleux...
Mais la pub et les fabulations ne vont pas vraiment de pair alors il tend plus à se rapprocher du cinéma, du coté des effets spéciaux.
Il travaille notamment avec Abel Redon à l'élaboration des effets spéciaux sur son court "InHead"
Aujourd'hui, il travaille en tant que réalisateur de publicité mais aussi en tant que superviseur des effets visuels sur des clips ou des courts métrages.
Réalisateur | FX | Motion
toneanimationfilms
www.tone-portfolio.com
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Benoit RIOT-LE JUNTER (Monteur Son)
Ingénieur du Son, Régisseur Son, Formateur et musicien.
Après des études supérieures en physique et en électronique il est diplômé en 2003 de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) de Lyon comme Réalisateur Son.
En 2005, il crée sa propre structure indépendante, “dBn-Creation“. Il y propose son savoir-faire pour différents projets de post-production audiovisuelle et de création de bandes-son pour le spectacle vivant, le cinéma ou la télévision.
En 2007, il rejoint la Compagnie Arcosm et y assure depuis régulièrement la régie Son des spectacles Echoa et Bounce.
En 2009, il fonde et dirige L’école de la Voix, premier organisme de formation professionnelle en province spécifiquement dédié à la voix parlée. Il y forme les futures voix off et voix de doublage françaises.
Une polyvalence autour du Son qu’il revendique, et qui l’amène aujourd’hui à exercer comme ingénieur du Son et directeur d'acteurs en studio, preneur de Son, formateur, designer sonore ou encore régisseur de tournée dans le monde entier.
Ingénieur du Son, Régisseur Son, Formateur et musicien.
Après des études supérieures en physique et en électronique il est diplômé en 2003 de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) de Lyon comme Réalisateur Son.
En 2005, il crée sa propre structure indépendante, “dBn-Creation“. Il y propose son savoir-faire pour différents projets de post-production audiovisuelle et de création de bandes-son pour le spectacle vivant, le cinéma ou la télévision.
En 2007, il rejoint la Compagnie Arcosm et y assure depuis régulièrement la régie Son des spectacles Echoa et Bounce.
En 2009, il fonde et dirige L’école de la Voix, premier organisme de formation professionnelle en province spécifiquement dédié à la voix parlée. Il y forme les futures voix off et voix de doublage françaises.
Une polyvalence autour du Son qu’il revendique, et qui l’amène aujourd’hui à exercer comme ingénieur du Son et directeur d'acteurs en studio, preneur de Son, formateur, designer sonore ou encore régisseur de tournée dans le monde entier.
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Raphaël MONIER (Mixeur Son)
Je suis né pendant la canicule 76.
Quand j’avais 10 ans, mon meilleur ami avait deux (grands) frères punks, j’allais chez eux et on piquait leurs vinyles qu’on écoutait en cachette.
J’ai découvert le rock et un amour immodéré de la musique et du son est né, et ne m’a jamais quitté. A 12 ans ma mère m’a surpris jouant de la raquette de tennis "électrique" dans ma chambre au son de Paranoid de Black Sabbath. Elle a décidé de m’offrir une guitare électrique, un petit ampli, et a repris son 45 tours (que j’ai récupéré depuis).
Ma passion pour la musique m’a amené à fonder des groupes de rock dont certains m’ont envoyé dans des squats de Stuttgart, des rades et de belles salles parisiennes et de province, mais apporté toujours autant de plaisir. Les amplis ont grossi, le nombre de guitares aussi, et il a fallu faire en sorte de pouvoir travailler au contact du Son.
Ma passion pour ce dernier m’a envoyé en musicologie à Grenoble en 1997, puis en école de son (SAE) en 1999.
Tout en continuant à jouer du rock (au sein du groupe Hopkins), j’ai appris mon métier de technicien Son dans divers studios parisiens (Innerwaves, La Marque Rose, O’Bahamas, Lylo, Badje…) puis mes élucubrations professionnelles m’ont envoyé à Lyon.
J’y ai rencontré Benoit (le monteur son du film), qui m’a présenté Bertrand. Et me voilà parmi vous! De bien belles rencontres pour un si joli film!
Je suis né pendant la canicule 76.
Quand j’avais 10 ans, mon meilleur ami avait deux (grands) frères punks, j’allais chez eux et on piquait leurs vinyles qu’on écoutait en cachette.
J’ai découvert le rock et un amour immodéré de la musique et du son est né, et ne m’a jamais quitté. A 12 ans ma mère m’a surpris jouant de la raquette de tennis "électrique" dans ma chambre au son de Paranoid de Black Sabbath. Elle a décidé de m’offrir une guitare électrique, un petit ampli, et a repris son 45 tours (que j’ai récupéré depuis).
Ma passion pour la musique m’a amené à fonder des groupes de rock dont certains m’ont envoyé dans des squats de Stuttgart, des rades et de belles salles parisiennes et de province, mais apporté toujours autant de plaisir. Les amplis ont grossi, le nombre de guitares aussi, et il a fallu faire en sorte de pouvoir travailler au contact du Son.
Ma passion pour ce dernier m’a envoyé en musicologie à Grenoble en 1997, puis en école de son (SAE) en 1999.
Tout en continuant à jouer du rock (au sein du groupe Hopkins), j’ai appris mon métier de technicien Son dans divers studios parisiens (Innerwaves, La Marque Rose, O’Bahamas, Lylo, Badje…) puis mes élucubrations professionnelles m’ont envoyé à Lyon.
J’y ai rencontré Benoit (le monteur son du film), qui m’a présenté Bertrand. Et me voilà parmi vous! De bien belles rencontres pour un si joli film!
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Ludovic VIRIEUX (Bruiteur)
Ingénieur du son depuis quelques années, passant par une formation de montage Son et une sensibilisation au bruitage, je m'amuse à créer des sons et faire prendre vie à un sujet, un décor, une situation d'une image animée sur un écran.
Ingénieur du son depuis quelques années, passant par une formation de montage Son et une sensibilisation au bruitage, je m'amuse à créer des sons et faire prendre vie à un sujet, un décor, une situation d'une image animée sur un écran.
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